Tu as eu tort d'oublier
un instant l'humanité
La souffrance est montée
en rythme syncopé,
je l'ai incisée.
Tu as fait de ce voyage
un moment de non partage.
Sur la piste d'atterrissage,
a débarqué ma rage.
A contre-temps, tu dégages.
Le coeur qui peine,
les tripes qui dégueulent.
Ma tête pleine
de tes coups de sang.
Je te raye.
Tu disparais.
Toi avec toi,
la belle affaire !
Tu as eu tort de jouer
un instant la duplicité.
La douleur est montée
d'un coup. Terrassée,
je l'ai laminée.
Elle est sortie.
Tu n'es plus.
07 mai 2007
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9 commentaires:
La vie duraille.
@ hellohlala : heureusement aucune victime en état grave à déplorer !
Contente de te retrouver ici ;-)
Il est parfois difficile de réagir a des choses si personnelles...Juste...ce qui est dit... est dit...
euh...faut que je t'appelle. Ce poème m'interpelle...Tu vas bien ma belle????
@ deep : ce qui est dit libère...
@ zazou : no souci, l'orage est passé ;-))
La médiocrité ne peut t'atteindre
Juste t'éteindre
Avec l'aide de quelques Mojitos
Pour reteindre
Ta vie couleur Diabolo
Ta petite flamme va revenir
Pour aviver l'avenir
D'un chatoiement multicolore
Plus d'eunnuques dans le décor
Mais des grammairiens
Sachant conjuguer Donner ...
Adieu Galérien
Bienvenue Grenouillophiles
Tu sais dans l'île
Le poéte Ferré
Chantait
Avec le temps, Avec le temps, va, tout s'en va .....
A toi
Avec toi
Pour toi
Ou dit autrement: oublie ce con, la vie est courte
@ sérénitétophile :
A toi
Avec toi
Pour toi...
Aussi.
Putain, c'est vrai. Ca y est, c'est bon, c'est pour de vrai.
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