
26 novembre 2007
25 novembre 2007
Un dimanche soir entre chien et loup...
23 novembre 2007
Combien de fois par an utilisez-vous une perceuse ?
Parce que je m'interroge sur le comportement "compulsif" de mes voisins avec l'outil en question... Et j'avoue que ça me dépasse !
22 novembre 2007
21 novembre 2007
Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins, à bicyclette...
Hier, journée grise et pluvieuse (genre en plein milieu d'après-midi on allume la lampe), j'ai loué un vélib ! Rien d'extraordinaire pensez-vous. Ben pour moi si : habituellement les 2 roues c'est avec un moteur.
Je m'approche d'une borne. Il y a des vélos, du papier dans la machine, cool ! C'est parti, abonnement d'un jour et tout le toutim. Un jeune homme m'explique qu'une fois que j'ai mon numéro, il faut que je choisisse mon vélo... Composez, validez... Ok... La bicyclette se libère. Je me retrouve là, debout à côté, et le doute surgit : euh... depuis combien de temps tu n'en as pas fait ?? Allez, paraît que ça ne s'oublie pas !
C'est vrai ! Quelques secondes d'équilibre instable et hop, en selle ! Génial. L'air sur le visage, l'impression d'une relative vitesse. Waou ! Une vraie gamine de 4 ans à qui on vient d'enlever les roulettes !
Ce qui m'a un peu perturbé, c'est l'absence de rétroviseurs et de clignotants. Il faut donc retrouver les automatismes : tourner la tête, tendre le bras.
Là où je me suis dit que j'étais peut-être à côté de mes pédales c'est lorsque je me suis arrêtée au feu rouge et que nombre de 2 roues ont continué à rouler.
En actu, aujourd'hui : + 70% d'accidents corporels en région parisienne depuis le début des grèves... No comment !
En tout cas, je suis fière de moi ! Parce que les trucs sans moteur, je peux vous dire, à la base, c'est vraiment pas ma tasse de thé !
19 novembre 2007
18 novembre 2007
17 novembre 2007
16 novembre 2007
Aujourd’hui je n’ai rien fait.
Mais beaucoup de choses se sont faites en moi.
Des oiseaux qui n’existent pas ont trouvé leur nid.
Des ombres qui peut-être existent ont rencontré leur corps.
Des paroles qui existent ont recouvré leur silence.
Ne rien faire
sauve parfois l’équilibre du monde,
en obtenant que quelque chose aussi pèse
sur le plateau de la balance.
Roberto Juarroz
Mais beaucoup de choses se sont faites en moi.
Des oiseaux qui n’existent pas ont trouvé leur nid.
Des ombres qui peut-être existent ont rencontré leur corps.
Des paroles qui existent ont recouvré leur silence.
Ne rien faire
sauve parfois l’équilibre du monde,
en obtenant que quelque chose aussi pèse
sur le plateau de la balance.
Roberto Juarroz
09 novembre 2007
07 novembre 2007
Impermanence
Caractère de ce qui n'est pas permanent, de ce qui ne dure pas. L'Éternel est le seul dont on puisse raisonnablement penser qu'il existe. Tout le reste se mêle et s'embrouille dans l'impermanence générale (Green, Journal, 1939).
02 novembre 2007
31 octobre 2007
J'ai remis à l'heure d'été
Les proverbes qui ne disent pas
Qu'on peut être et avoir été
Un enfant à chaque premier pas
Puis j'ai relu les révoltés
Comme eux sur le pont du Bounty
Des nuits entières à boire du thé
Ou du café, fifty-fifty
J'ai remis à l'heure d'été
Un mange-disque désinvolte
Qui s'était bouffé la santé
A jouer du Piaf en 110 volts
Puis j'ai repeint la voix lactée
Et rajouté quelques étoiles
Pour faire un passage clouté
Vers d'autres idéaux moins pâles
J'ai remis à l'heure d'été
La pendule et les édredons
Trois amours-en-cage squattés
Par le chiendent et les chardons
Et puis je me suis délesté
Des pensées qu'on sème en hiver
Mais qu'on ne veut plus récolter
Dès qu'on passe à l'heure d'été.
Marc Estève
Les proverbes qui ne disent pas
Qu'on peut être et avoir été
Un enfant à chaque premier pas
Puis j'ai relu les révoltés
Comme eux sur le pont du Bounty
Des nuits entières à boire du thé
Ou du café, fifty-fifty
J'ai remis à l'heure d'été
Un mange-disque désinvolte
Qui s'était bouffé la santé
A jouer du Piaf en 110 volts
Puis j'ai repeint la voix lactée
Et rajouté quelques étoiles
Pour faire un passage clouté
Vers d'autres idéaux moins pâles
J'ai remis à l'heure d'été
La pendule et les édredons
Trois amours-en-cage squattés
Par le chiendent et les chardons
Et puis je me suis délesté
Des pensées qu'on sème en hiver
Mais qu'on ne veut plus récolter
Dès qu'on passe à l'heure d'été.
Marc Estève
27 octobre 2007
24 octobre 2007
A tête perdue
ton crâne
à terre
réserve
la part
au sol
face
à qui
à terre
réserve
la part
au sol
face
à qui
ton âme
erre
sauve
la face
à terre
préserve
qui
erre
sauve
la face
à terre
préserve
qui
ton corps
debout
s'entête
face
à part
taire
qui
debout
s'entête
face
à part
taire
qui
23 octobre 2007
21 octobre 2007
15 octobre 2007
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