17 décembre 2006

Peut-on se mettre à la place d'autrui ?

12 commentaires:

Anonyme a dit…

On peut au moins essayer, c’est la première étape vers l’empathie !
Ça me paraît être une des règles implicites qui sous-tendent et autorisent la vie en société humaine.
Enfin, j'aime à le croire :-)

François a dit…

Ch'uis d'accord avec Serge...

Anonyme a dit…

L'empathie n'est pas une "règle", c'est une capacité !

Anonyme a dit…

Oui, c'est vrai, à l'échelle de l'individu.
Mon propos, pas assez précis sans doute, se situait à l’échelle de la société, l’hypothèse étant que la présence d’empathie entre les individus est une condition nécessaire, un pré requis, une règle obligatoire donc, à l’existence de la société humaine.
Bien sûr, certains peuvent penser que ce n’est pas le cas, que la société ne s’appuie que sur la recherche d’intérêts communs entre les individus pour exister et croître et que la solidarité n’est donc qu’une conséquence, pas une cause.
Ce n'est pas mon avis.

thomas a dit…

Ben dis donc, la tite grenouille, tu pourras te vanter d'avoir fait de ton blog un espace où ça vole haut, quand même ... même si ça donne des maux de tête à certains !
D'après ce que j'ai compris, on aurait une version humaniste de la vision de la societé s'opposant à une version plus libérale, je me trompe, Serge ?
Me vient donc une question subsidiaire : pourquoi les opposer ?

François a dit…

Moi, je me rappelle de mes cours de philo en terminale littéraire, où on évoquait notamment le fait qu'une société fonctionne (à peu près !) parce qu'un équilibre peut se former entre les deux visions opposées citées par mes e-prédécesseurs.

Un équilibre qui se fonde à la fois sur des intérêts (objectifs), qu'ils soient particuliers ou collectifs, et des stratégies (processus) pour y parvenir. Ainsi, finalement, une société fonctionnerait donc à la fois parce que l'individu trouve les moyens de servir ses intérêts particuliers dans le cadre d'une contrainte collective (la loi par exemple), mais également parce que les stratégies collectives (une politique sociale, par exemple) se mettent au service de l'intérêt général (que l'on pourrait schématiquement résumer au mieux pour le plus grand nombre).

D'où le danger d'une société clientéliste... non ?

Anonyme a dit…

Oups …, j’aurais dit tout ça, moi ?
Loin de moi l’idée ou l’envie d’opposer qui ou quoi que ce soit (enfin, dans ce cas précis) !
Je n’avais pas non plus l’ambition de décortiquer le fonctionnement de la société.
J’exprimais juste l’idée selon laquelle, parmi toutes les conditions nécessaires à l’existence d’une société humaine, la présence d’empathie entre les individus est l’une des plus importantes et peut être la première, celle qui permet d’amorcer le processus.
Une condition nécessaire donc, mais probablement pas suffisante …
C’est tout, mais déjà assez pour se donner mal à la tête, non ?
Evidemment, c’est juste une hypothèse … qui me plais bien !
Désolé pour les bourdonnements de cougourde de certains, mais il faut de tout pour faire un blog, non ;-)

Anonyme a dit…

Mais parfaitement on peut se mettre à la place d'autrui. Il y a de l'empathie entre les individus et tout ça.
Tiens, par exemple, lorsque je me tape la femme de mon meilleur pote et bien je me met à sa place. Et en plus j'apprends que ça participe à un meilleur fonctionnement de la société. C'est génial.

Anonyme a dit…

Ouais, c'est bon à savoir, ça décomprime la cougourde et ça tonifie le reste …

Anonyme a dit…

J'suis aussi nouveau. j'ai rencontré la grenouille au bord d'une mare à canards à côté de mon semi!!! Elle était belle, j'avais un camion et hop, elle m'a filé son blog!!!J'aime bien Phiphi qui se tape une truie...ben, la femme de son pote...Alors autrui, au trou, peu importe, ce qui compte c'est mon camion!!!!Breko!

Anonyme a dit…

sais pas moi suis pas une truie ;-)

Anonyme a dit…

La seule place où l'on peut se mettre à la place d'autrui c'est les chiottes ! Attention qu'il reste du papier... avec un peu plus de sérieux, non on ne peut jamais vraiment se mettre à la place d'autrui. Car nous avons nos propres réponses aux problèmes, ne pas confondre se mettre à la place de... et prendre la place de... !